Info club du 13 février 2022
Posté le 14 février 2022 rédigé par SCASB classé dans Journal du SCASB, Info Club
Mots clés : Info Club, Sortie Club, Parcours n°07
Groupe 2 ? (Voir plus loin…)
Ce matin, l'hiver s'accroche encore, l'bâtââr !!!!
La campagne est blanche, mais la route sèche. Bien couvert ça passe. Comme à l'accoutumée, je rejoins le groupe dans la plaine de Saulx. Une trentaine de copains, une copine… Pas bien brillant cà !!! Une seule leçon, Laurence résiste au froid, elle !
En haut de Villejust, le groupe accelère. Pour le moment je vois notre bon président, de retour. Le moral est bon, le coup de pédale prudent. Je discute avec Christian, Jojo. Il m'explique qu'il faut encore rouler « souple » en ce début d'année. OK, comme je ne connais rien, je vais rouler souple, faire tourner les jambes. En même temps, je n'ai pas grand-chose dans la caisse ce matin, voire un peu mal aux cheveux… Je sens que je vais devoir m'accrocher !
La séparation en deux groupes s'effectue en haut du Déluge. Sous l'impulsion de Francky, Dominique, nous sommes une quinzaine constituant le groupe 1,5 ou 2,5, fonction du point de vue. Moi, je suis plutôt 2,5 dit « suce roue » ou grosses feignasses. Mais je ne suis pas le seul. Et je vais passer cette belle journée bien au chaud, en queue de peloton, avec mes bons amis. Devant, il y a bien quelques excités qui par moment forcent l'allure, ça « accordéonne » un peu alors et les conversations décroissent, mais reprennent bien après quelques kilomètres.
Loin devant, presque trop loin pour ma myopie, je vois bien des demandes d'aide et de relais, mais c'est trop loin pour moi.
Aujourd'hui, je m'assigne au gardiennage du troupeau, mais par pure grandeur d'âme, bien sûr !!! Pas parce que je n'ai rien dans le sac, nan, nan.
Alors quand François perd son bidon, hop ! Je m'arrête et l'attends. Quand Jean-Claude se fait larguer après la montée du Val-Saint-Germain, je l'attends en compagnie de Felipe, et nous recollons au groupe. Nous perdons Philippe et Patrick, kicéki attends ? Du coup l'allure est assez molle. Francky râle : « y'a du biathlon à la télé, à 11h45 ! ». Et nous reprenons le parcours. Enfin plus ou moins car comme d'habitude, trop de GPS tue le GPS, donc on ne suit pas exactement la trace, C'est bizarre, nous sommes tous équipés, et il arrive encore de la perdre cette [ndsvllq hvkqhlurhkqb] de trace. C'est qu'elle est bien coquine, alors.
Pour ma part, l'histoire s'arrête à Janvry, après Mulleron. L'odeur de mon écurie est trop forte, la lassitude aussi, je quitte le groupe et rentre chez moi.
Bilan de la journée 70 km à même pas 25 de moyenne (la honte cosmique).
En point positif, j'aime bien être dans le groupe 2.5
En point négatif, le vélo ça me fatigue, je préfère voir suer les autres à la TV !!!
À dimanche prochain…
Éric C.